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La question des effets indésirables est au centre de la confiance des français dans la vaccination.
Le bénéfice de la vaccination est il supérieur au risque connu ?
Si la réponse est oui sur le plan collectif, chacun se pose la question pour lui-même.
Selon les données communiquées par les laboratoires, et rares sont celles qui sont déjà publiées, les effets indésirables graves sont plutôt rares et dits récupérés ( cf. données communiquées par Astra Zeneca The Lancet du 8 décembre).
C’est lors du passage de la vaccination en population générale, au fur et à mesure du temps, que des centaines de milliers puis des millions de personnes auront été vaccinées, que ces effets se révèleront, et concerneront plutôt des personnes ayant des , et c’est normal.
Aujourd’hui ce que l’on sait, est que cette épidémie tue les plus fragiles ou peut laisser des séquelles graves aux personnes contaminées.
et, outre l’aspect protection collective, le bénéfice est évidemment supérieur aux risques pour les personnes considérées comme les plus exposées.
Au Royaume Uni, alors que la campagne de vaccination a démarré en population générale, le 8 décembre au Royaume-Uni, deux personnes, membres du personnel du Service national de santé du Royaume-Uni (NHS) ont signalé des réactions allergiques après s’être fait vacciner par le vaccin Pfizer, l’agence anglaise du médicament recommande de ne pas vacciner
« toute personne ayant un historique de réaction allergique importante à des vaccins, des médicaments ou de la nourriture - comme des réactions anaphylactiques ou ceux à qui il a été conseillé de porter un injecteur d’adrénaline ».